Mes Soft Skills

À 19 ans, j’ai déjà vécu pas mal d’expériences qui m’ont aidé à développer des compétences perso assez solides. Ces compétences, je ne suis pas née avec : je les ai apprises et améliorées au fil du temps, grâce à tout ce que j’ai fait jusqu’à maintenant.

Mes maladies aussi ont modifié qui je suis, me rendant plus faible certains jours, mais plus forte et plus volontaire, toujours.

Toutes ces expériences, qu’elles soient perso, citoyennes ou culturelles, m’ont aidé à devenir qui je suis aujourd’hui : quelqu’un avec des compétences utiles et prêtes à être mises au service de nouveaux défis.

Adaptation

Ma capacité à m’adapter, par exemple, vient clairement de mes voyages. Chaque nouveau voyage a été une sorte de mini-aventure, où j’ai dû apprendre à me débrouiller dans des situations nouvelles et parfois imprévues. C’est grâce à ça que je me sens aujourd’hui à l’aise presque partout.

Créativité

Pour la créativité, j’ai un bon exemple : le prix Chimère que j’ai gagné au collège avec des camarades de classe. Ce prix, c’était une belle reconnaissance de ma capacité à sortir des idées nouvelles, à penser différemment. C’est quelque chose que je mets en pratique tous les jours, pas juste quand il y a une récompense à la clé.

Travailler en équipe

Le volley, c’est là où j’ai vraiment appris ce que « travailler en équipe » veut dire. En étant capitaine, j’ai vu de près ce que ça implique : être là pour les autres, réagir vite, et surtout, viser un objectif commun. C’est une expérience qui m’a appris énormément sur comment être une bonne coéquipière et leader.

Esprit d’initiative

Mon esprit d’initiative, je l’ai surtout exprimé en organisant des Clean Walks. C’était pas juste ramasser des déchets : c’était planifier l’événement, motiver les gens à participer, et faire en sorte que tout se passe bien. Ça m’a appris à prendre les devants et à mener un projet du début à la fin.

Communication orale

En seconde, j’étais déléguée de classe, et c’est là que j’ai pu développer ma communication orale. Ça m’a donné l’occasion de parler en public, d’écouter les autres et de représenter les idées de ma classe. Ça m’a aussi appris à mieux comprendre les gens autour de moi.

Pensée critique

Enfin, être arbitre départementale, c’est un truc qui demande de la pensée critique. Il faut connaître les règles sur le bout des doigts et être capable de prendre des décisions rapides et justes, même sous pression.